Once upon a time. Lecture linéaire et filandreuse d'une âme qui, avec toute l'outrecuidance et la prestance et l'imposture dans la posture avec laquelle elle se plaçait, a quand même bien failli faillir. Ambivalence, prolétariat et enculade. Tel est le récit d'un vie que, dieu merci, je ne raconterai pas pour ne pas l'avoir vécu. On tenterait presque de faire des phrases qui ne riment à rien dans l'espoir incertain que l'infime chance qu'une masse informe, populaire et anencéphale ne réussisse pas à piger le sens caché, le second degré_baise-moi_message subliminal, de ce monticule, parcelle de vie, moment d'angoisse et ultime tentative de partage d'une pudeur qui t'as rogné les cœurs, le tout déposé dans un malin stratège, sur un bloc-note binaire. Quelle réussite, ça n'veut rien dire.